Grâce à notre guide, découvrez tout ce qu'il faut savoir pour créer votre auto-entreprise et débuter sereinement votre activité. Fonctionnement du statut, inscription au régime, identification de votre CFE, aides au lancement et démarches à réaliser : Espace Auto-Entrepreneur vous apporte ses conseils pour devenir auto-entrepreneur en toute simplicité.
Découvrez les démarches à réaliser pour devenir auto-entrepreneur : déclaration de début d’activité en ligne, fourniture des justificatifs, formalités complémentaires, etc.
Interlocuteurs à contacter, procédure de déclaration et documents obligatoires : suivez le guide pour découvrir comment créer une auto-entreprise.
Suivez notre guide pour remplir le formulaire de création d’une auto-entreprise, aussi appelé eril et débuter votre activité.
Le SIRET de l’auto-entrepreneur est un code permettant d’identifier votre auto-entreprise. On fait le point sur son fonctionnement et son obtention.
Le code APE de l’auto-entrepreneur, c’est un identifiant attribué par l’INSEE qui sert à identifier l’activité principale que vous exercez en auto-entreprise. Focus.
Domicile personnel, incubateur ou local commercial : découvrez toutes les solutions de domiciliation pour auto-entreprise qui existent et faites le bon choix pour votre activité.
Découvrez les aides financières et les dispositifs pour créer votre auto-entreprise plus facilement : l'Acre, le Nacre, les crédits alternatifs et les aides pour les femmes.
Exonération de cotisations, maintien des allocations ou encore accompagnement : différentes aides sont accordées aux entrepreneurs pour les soutenir dans leur activité.
L’Arce, c’est une aide permettant aux demandeurs d’emploi qui créent une auto-entreprise de toucher une partie de leurs droits aux allocations chômage.
Accordée sous certaines conditions, la prime d’activité permet aux auto-entrepreneurs aux ressources modestes de profiter d’un complément de revenus.
En cas d’impossibilité de souscrire un prêt bancaire traditionnel, les micro-entrepreneurs disposent de deux solutions alternatives : le microcrédit et le prêt solidaire.
À l’image de la Garantie Égalité Femmes, de nombreux dispositifs et aides existent pour encourager les femmes auto-entrepreneuses à créer et développer leur activité.
Tous les auto-entrepreneurs sont rattachés à un CFE (Centre de formalités des entreprises), dont l’identité dépend de la nature de leur activité. Découvrez son rôle et ses missions.
L’URSSAF, la CCI et la CMA sont les trois principaux CFE dont dépendent les auto-entrepreneurs. Découvrez à quel organisme votre auto-entreprise est rattachée.
Vous exercez une activité libérale sous le régime de l’auto-entreprise ? C’est donc l’URSSAF qui est votre CFE et qui, à ce titre, est votre interlocuteur dédié pour l’ensemble de vos démarches.
Si vous exercez une activité artisanale sous le régime de l’auto-entreprise, vous dépendez de la CMA (Chambre de métiers et de l’artisanat). Découvrez le rôle du CFE des auto-entrepreneurs artisanaux.
Vous exercez une activité commerciale en tant qu’auto-entrepreneur ? Dans ce cas, c’est la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) qui joue le rôle de CFE pour votre activité.
Le greffe du tribunal de commerce, c’est un organe qui joue le rôle de CFE pour tous les auto-entrepreneurs exerçant une activité d’agent commercial. Découvrez ses missions.
Le nom officiel de votre auto-entreprise, c'est votre raison sociale : en tant que micro-entrepreneur, il s'agit de votre prénom et de votre nom. Vous pouvez néanmoins choisir un nom commercial ou un nom de marque en complément.
La raison sociale d’une auto-entreprise, c’est son nom officiel et légal. Contrairement aux sociétés, les auto-entrepreneurs ont l’obligation d’avoir leur nom pour raison sociale.
Bien qu’il soit facultatif et n’ait pas de valeur juridique, le nom commercial d’une auto-entreprise est un élément de différenciation auprès de la concurrence.
Le nom de marque permet de donner une identité à son auto-entreprise et de la protéger. Découvrez les règles à respecter par l’auto-entrepreneur pour choisir une marque.
Lors de la création de votre auto-entreprise, plusieurs démarches peuvent être nécessaires pour bien débuter votre activité : réaliser le SPI, obtenir une carte de commerçant ambulant ou encore demander un extrait K.
Prouvant l’existence juridique de l’auto-entreprise, l’extrait K est indispensable pour tous les auto-entrepreneurs exerçant une activité commerciale.
Désormais facultatif, le Stage de préparation à l’installation (SPI) est vivement conseillé pour les auto-entrepreneurs artisans afin d’acquérir les bases de l’entrepreneuriat.
Aptitudes professionnelles, immatriculation de l’auto-entreprise et activités autorisées : découvrez toutes les obligations des auto-entrepreneurs réalisant du transport de personnes ou de marchandises.
Vous achetez ou vendez des produits ou des prestations de services à l’étranger ? Découvrez toutes les formalités de l’auto-entreprise pour l’import et l’export.
Délivrance du SIRET, mise à disposition d’indices, réalisation d’études de marché : découvrez toutes les missions de l’INSEE auprès des auto-entrepreneurs.
L'auto-entrepreneur, aussi appelé micro-entrepreneur, est un travailleur indépendant non salarié bénéficiant du régime de la micro-entreprise. Dans le cadre de son activité, il est soumis à plusieurs règles spécifiques.
Retrouvez toutes les informations essentielles sur le statut d'auto-entrepreneur : son fonctionnement, ses avantages et ses obligations. La micro-entreprise n’aura plus de secret pour vous !
Avant de se lancer dans l'aventure entrepreneuriale, il est important de connaître les avantages et les inconvénients du statut d'auto-entrepreneur.
De nombreuses activités commerciales, artisanales et libérales sont autorisées avec le statut d’auto-entrepreneur. Il existe toutefois des professions interdites, dont les activités agricoles, médicales et artistiques.
CIPAV, CFE, SSI ou encore TVA : l'activité d'auto-entrepreneur est confrontée au quotidien à de nombreux sigles et autres acronymes. Connaître leur signification et leur rôle, c'est essentiel !
TVA, cotisations sociales, exonérations sociales… le statut d’auto-entrepreneur dans les DOM-TOM et en métropole est différent sur de nombreux points.
Le régime de l'auto-entreprise n'est pas forcément adapté à tous les projets. Heureusement, d'autres solutions existent, comme l'EURL, l'entreprise individuelle classique ou même le portage salarial. Découvrez nos comparatifs !
Portage salarial ou auto-entrepreneur : quel statut est le plus adapté à votre projet ? Découvrez notre comparatif pour le découvrir.
La micro-entreprise et l’entreprise individuelle « classique » sont deux formes d’entreprise individuelle : elles présentent malgré tout de nombreuses différences de fonctionnement.
L’auto-entreprise et l’EURL vous permettent d’entreprendre à titre individuel. Toutefois, ces deux formes juridiques se distinguent sur de nombreux points : formalités de gestion, activités exclues, régime social, etc.
Un freelance peut être un auto-entrepreneur. Malgré tout, ces deux termes sont totalement différents : le premier désigne un travail indépendant, tandis que le second fait référence à un statut juridique.
Vous voulez vous lancer en tant qu'indépendant mais vous hésitez encore sur le statut juridique ? Espace Autoentrepreneur fait le point sur la micro-entreprise et la société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU).
En tant qu’auto-entrepreneur, vous pouvez avoir plusieurs activités et cumuler votre chiffre d’affaires avec d’autres sources de revenus : un salaire, des dividendes ou encore des allocations sociales.
Vous êtes salarié ? Vous avez le droit de créer une auto-entreprise en parallèle, notamment pour compléter vos revenus ou peaufiner votre projet d’entreprise.
Sous certaines conditions, un fonctionnaire peut être autorisé à cumuler plusieurs activités, notamment en créant une auto-entreprise. Retrouvez toutes les règles à suivre !
En tant que ressortissant étranger, vous pouvez créer votre auto-entreprise en France. Toutefois, des conditions sont à remplir selon votre nationalité et votre lieu de résidence.
Vous êtes retraité ? Vous avez le droit de créer une auto-entreprise pour cumuler des revenus professionnels avec votre pension de retraite. Ce cumul peut toutefois être plafonné.
En tant qu’auto-entrepreneur, vous avez le droit de cumuler le RSA avec votre chiffre d’affaires. Pour cela, il faut néanmoins que vos revenus ne dépassent pas un certain plafond.
Pour devenir auto-entrepreneur, vous devez simplement déclarer laâ¯création de votre micro-entreprise en ligne. Dès lors, vous serez soumis à certaines obligations spécifiques dans le cadre de votre activité.
La création de votre micro-entreprise est une démarche relativement simple : vous n'avez pas de capital social à constituer, ni de statuts à rédiger pour votre entreprise par exemple. Votre principal impératif est de déclarer le début de votre activité en ligne sur le portail e-Procédures.
Gérée par l’INPI (Institut national de la propriété industrielle), cette plateforme vous permet de créer votre micro-entreprise pas à pas. Pour cela, vous devrez fournir plusieurs informations et documents, dont :
une copie de votre pièce d'identité ;
un justificatif de domicile ;
votre identité (nom, prénom, date de naissance, etc.) ;
la domiciliation de votre auto-entreprise ;
la nature de votre activité ;
vos informations sociales (numéro de Sécurité sociale, etc.) ;
un justificatif de vos compétences si vous exercez une activité réglementée.
Selon votre situation, vous pouvez bénéficier de plusieurs dispositifs d'aide à la création de votre micro-entreprise, accordés notamment sous conditions de revenus.
L'Acre : l'Aide à la création ou à la reprise d'une entreprise est une exonération partielle de cotisations sociales accordée durant votre première année d'activité. Elle est attribuée en fonction du montant de vos revenus et de votre situation à la création de votre micro-entreprise.
Les allocations sociales : malgré la création de votre auto-entreprise, vous pouvez continuer à percevoir certaines allocations si vous en êtes bénéficiaire et sous conditions. C'est le cas pour l'Allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE), le Revenu de solidarité active (RSA), l'Allocation de solidarité spécifique (ASS) et la prime d'activité.
Les accompagnements : sous certaines conditions, les nouveaux auto-entrepreneurs peuvent aussi avoir accès à des dispositifs d'accompagnement pour favoriser la création de leur activité. On distingue notamment l'Aide à la reprise ou à la création d'entreprise (ARCE), le Nouvel accompagnement pour la création ou la reprise d'entreprise (NACRE) et le Contrat d'appui au projet d'entreprise (CAPE).
Le régime de l’auto-entreprise permet de débuter une activité professionnelle non salariée de manière rapide et simplifiée. Vous êtes soumis à des obligations allégées et pouvez exercer de nombreuses professions. De plus, vous avez accès à différentes aides pour favoriser le lancement de votre activité.
Le régime de la micro-entreprise permet de bénéficier du statut de micro-entrepreneur, anciennement appelé auto-entrepreneur, et ainsi d’être reconnu en tant que travailleur indépendant non salarié. Ce statut est ouvert à tous â¯: les demandeurs d'emploi, les salariés, les retraités ou encore les fonctionnaires (sous conditions). Il permet d'’ailleurs d'exercer une activité régulière ou ponctuelle, à titre principal ou en complément d'une autre activité.
Avant de faire ce choix, il peut toutefois être intéressant de comparer le régime de la micro-entreprise avec d’autres formes juridiques.
Auto-entreprise ou entreprise individuelle : l'entreprise individuelle (EI) offre des plafonds de chiffre d'affaires supérieurs, permet de déduire ses charges et d'être imposé sur le bénéfice. Toutefois, ses obligations comptables et son régime fiscal sont plus complexes qu'en micro-entreprise.
Auto-entreprise ou EURL : bien qu'elle soit soumise à des contraintes comptables, fiscales et déclaratives plus nombreuses (déclaration du résultat, bilan, etc.), l'EURL est idéale pour développer plus rapidement son activité, notamment en la transformant en SARL par exemple.
Auto-Entreprise ou SASU : la SASU est une SAS avec un seul associé. Interdite à certaines activités (juridiques, judiciaires et santé), cette forme d'entreprise est plus adaptée aux projets d'envergure, notamment grâce à sa souplesse pour la transmission des actions et la constitution du capital.
Auto-entreprise ou portage salarial : dans le cadre du portage salarial, vous êtes salarié par une entreprise qui se charge de toute votre gestion administrative et qui facture vos clients. En contrepartie, une part de vos revenus est reversée à l'entreprise vous portant. De quoi profiter des avantages du salariat, malgré une rémunération moindre.
Le régime de l’auto-entreprise permet d’exercer de très nombreuses activités, généralement regroupées en trois grandes catégories.
Les activités commerciales : il s'agit de toutes les activités relevant de la vente de marchandises et de la fourniture de logements. Elles dépendent de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI).
Les activités artisanalesâ¯: il s'agit des activités impliquant la réparation, la production ou la transformation d'objets demandant une intervention manuelle et une compétence professionnelle spécifique. Elles sont rattachées à la Chambre de métiers et de l’artisanat (CMA).
Les activités libéralesâ¯: le régime de l'auto-entreprise est ouvert aux activités de prestations de services libérales qui dépendent de la Cipav (Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d'assurance vieillesse) ou de la SSI (Sécurité sociale des indépendants).
Malgré tout, le régime de l'auto-entreprise n'est pas ouvert à certaines activités, dont :
les activités agricoles rattachées à la Mutualité sociale agricole (MSA) ;
les activités libérales ne relevant pas de la Cipav ou de la SSI ;
les activités relevant de la TVA immobilière ;
les activités rattachées à la Sécurité sociale des artistes auteurs.
Une fois votre auto-entreprise créée, vous êtes rattaché à un Centre de formalités des entreprises (CFE), dont l’identité dépend de la nature de votre activité. On distingue :
la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) pour les activités commerciales ;
la Chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) pour les activités artisanales ;
l’URSSAF (Union de recouvrement des cotisations de Sécurité sociale et d'allocations familiales) pour les activités libérales ;
le greffe du Tribunal de commerce pour les agents commerciaux.
Votre Centre de formalités des entreprises est votre principal interlocuteur dans le cadre de votre activité de micro-entrepreneur. Son rôle est principalement de vérifier vos déclarations, de transmettre vos demandes aux organismes compétents, de vous accompagner et de vous conseiller. D’où l’importance de bien identifier votre CFE.
Espace Auto–Entrepreneur est le partenaire indispensable au lancement de votre micro-entreprise. Depuis notre plateforme, vous pouvez devenir auto-entrepreneur très facilement et être accompagné dans la gestion de votre activité.
Pour simplifier vos démarches, vous pouvez créer votre auto-entreprise sur Espace Auto-Entrepreneur en seulement quelques minutes. Grâce à notre formulaire allégé, devenez auto-entrepreneur en seulement 4 étapes.
Remplissez vos informations personnelles.
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Renseignez les coordonnées de votre auto-entreprise.
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Simple et rapide, la création de votre micro-entreprise en ligne vous fait profiter de nombreux avantages. Sur Espace Auto-Entrepreneur, nous vous garantissons :
un traitement de votre demande en seulement 24 heures ;
la vérification complète de votre dossier afin de corriger les erreurs ;
une inscription au régime de l'auto-entreprise en seulement 15 minutes.
En vous inscrivant sur Espace Auto-Entrepreneur, des experts de l'auto-entreprise vous accompagnent dans la création de votre activité et vous conseillent pour mieux gérer votre micro-entreprise, notamment en ce qui concerne :
le fonctionnement du statut de micro-entrepreneur ;
les activités interdites en auto-entreprise ;
l'identification de votre Centre de formalités des entreprises (CFE) ;
la déclaration de votre chiffre d'affaires ;
le paiement de vos charges fiscales et sociales ;
vos obligations déclaratives et comptables.
Sur Espace Auto-Entrepreneur, vous avez également accès à des outils essentiels pour gérer plus facilement votre auto-entreprise. Édition de vos factures et de vos devis, suivi de votre activité, aide à la déclaration ou encore stockage de vos documents : tout est réuni pour garantir la réussite de votre projet.
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